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Aquarelle acrylique et vernis
Qui de mieux que la famille peut accompagner l’arrivée d’un nouveau-né ?
Cette illustration représente tout autant un cycle de vie qu’un questionnement sur la place de l’embryon dans notre société.
L’embryon humain est au cœur d’une multitude de débats contemporains.
Les exemples sont nombreux :
Les usages des embryons congelés, encadrer la conservation et fixer une durée légale à l’interruption volontaire de grossesse… .
À chaque fois reviennent une série d’interrogations sur la nature de ce petit œuf.
Est-ce un regroupement de cellules ou « une personne » a part entière ?
Existe-t-il un pont passant d’un statut à l’autre ? Et si oui à quel moment ? Et de quelle manière ?
Les réponses pointent évidemment des sujets de fond philosophiques, religieux et juridiques.
Pour autant, ces interrogations ne sont pas récentes.
Au contraire, ils prolongent et réactivent, bien souvent, un héritage considérable de textes antiques.
Les médecins grecs, depuis Hippocrate et ses successeurs, les philosophes, les Pères de l’Eglise et les penseurs byzantins, ainsi que les auteurs juifs du Talmud ou les savants musulmans du Moyen-âge, ont spéculé sur le développement du foetus, les processus de sa formation, les rôles respectifs de la mère et du père lors de la création de ce petit être.
Tous n’ont cessé d’observer et de s’interroger sur cette énigme qui conduit d’une goutte de semence à un organisme complet à travers une évolution dont les étapes paraissent un défi à la compréhension humaine.
S’il est évidemment impossible en une illustration de montrer dans l’exactitude tout le savoir sur les questionnements que l’on vient de cité, on peut malgré tout en tirer une leçon d’ensemble.
La biologie et la science médicale modernes ont mis un terme à certaines spéculations de l’Antiquité.
On ne se dispute plus pour savoir s’il y a une seule semence (masculine) ou deux semences (masculine et féminine), ou si chaque semence est produite par un seul organe ou provient du corps tout entier. Pratiquement toutes les questions relatives au mode de croissance de l’embryon et au processus de son développement sont résolues.
En revanche, en matière de spiritualité, de métaphysique, d’éthique ou de droit, dès qu’il s’agit de définir la nature même de l’embryon, de savoir quand il commence à être un « homme » ou de formuler des règles sociales le concernant, nous n’en savons pas plus que les hommes d’autrefois.
Cette illustration a donc pour but de relancer un débat, mais aussi de prendre conscience de l’importance de chaque personnes dans l’entourage de ce miracle qui est la vie.
Rupture de stock
Aquarelle acrylique et vernis
Qui de mieux que la famille peut accompagner l’arrivée d’un nouveau-né ?
Cette illustration représente tout autant un cycle de vie qu’un questionnement sur la place de l’embryon dans notre société.
L’embryon humain est au cœur d’une multitude de débats contemporains.
Les exemples sont nombreux :
Les usages des embryons congelés, encadrer la conservation et fixer une durée légale à l'interruption volontaire de grossesse… .
À chaque fois reviennent une série d'interrogations sur la nature de ce petit œuf.
Est-ce un regroupement de cellules ou « une personne » a part entière ?
Existe-t-il un pont passant d'un statut à l'autre ? Et si oui à quel moment ? Et de quelle manière ?
Les réponses pointent évidemment des sujets de fond philosophiques, religieux et juridiques.
Pour autant, ces interrogations ne sont pas récentes.
Au contraire, ils prolongent et réactivent, bien souvent, un héritage considérable de textes antiques.
Les médecins grecs, depuis Hippocrate et ses successeurs, les philosophes, les Pères de l'Eglise et les penseurs byzantins, ainsi que les auteurs juifs du Talmud ou les savants musulmans du Moyen-âge, ont spéculé sur le développement du foetus, les processus de sa formation, les rôles respectifs de la mère et du père lors de la création de ce petit être.
Tous n’ont cessé d’observer et de s’interroger sur cette énigme qui conduit d'une goutte de semence à un organisme complet à travers une évolution dont les étapes paraissent un défi à la compréhension humaine.
S'il est évidemment impossible en une illustration de montrer dans l’exactitude tout le savoir sur les questionnements que l’on vient de cité, on peut malgré tout en tirer une leçon d'ensemble.
La biologie et la science médicale modernes ont mis un terme à certaines spéculations de l'Antiquité.
On ne se dispute plus pour savoir s'il y a une seule semence (masculine) ou deux semences (masculine et féminine), ou si chaque semence est produite par un seul organe ou provient du corps tout entier. Pratiquement toutes les questions relatives au mode de croissance de l'embryon et au processus de son développement sont résolues.
En revanche, en matière de spiritualité, de métaphysique, d'éthique ou de droit, dès qu'il s'agit de définir la nature même de l'embryon, de savoir quand il commence à être un « homme » ou de formuler des règles sociales le concernant, nous n’en savons pas plus que les hommes d'autrefois.
Cette illustration a donc pour but de relancer un débat, mais aussi de prendre conscience de l’importance de chaque personnes dans l’entourage de ce miracle qui est la vie.
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